A partir du 8 juin 2021, un outil de partage d’indicateurs sociaux dénommé OCARINA (Observation Collaborative Acteurs Recherche Indicateurs Nouvelle-Aquitaine) est accessible à tous. Cet outil, réalisé par l’ORS Nouvelle-Aquitaine et co-animé par l’UDCCAS de Dordogne est financé par la DRETS, le SGAR et l’ARS.
Cet ouvrage offre un panorama des questions économiques, sociales et environnementales au niveau territorial. En utilisant les zonages d’études actualisés en 2020, l’ouvrage fait le point sur les disparités géographiques en France, sur les forces et faiblesses des divers territoires ainsi que sur les conditions de vie de la population.
Cette étude, réalisée par Loïcka Forzy, Lou Titli, Morgane Carpezat et Claire Verdier, propose un éclairage qualitatif sur les logiques de recours aux soins des patients, à partir de 25 entretiens sociologiques réalisés entre janvier et avril 2019 sur trois territoires urbains ayant une accessibilité aux médecins généralistes légèrement inférieure à la moyenne nationale.
L’objectif était de comprendre comment la variable spatiale joue concrètement dans les logiques de choix des professionnels et dans l’organisation des pratiques de soins, mais également d’identifier quels autres facteurs peuvent apparaître comme des facilitateurs ou, à l’inverse, comme des freins dans l’accès aux soins.
Pour cela, l’étude se penche sur l’organisation, sur le plan spatial et temporel, des pratiques de soins, en les resituant dans des emplois du temps « ordinaires » et quotidiens.
➡️ Les résultats indiquent d’abord que le ressenti de la distance doit être replacé dans l’espace vécu des individus, multidimensionnel et propre à chacun. Il est susceptible de varier selon le type de professionnel considéré (médecin généraliste, autre professionnel médical de premier recours, auxiliaires médicaux et spécialistes de second recours).
➡️ Ensuite, la distance géographique n’apparaît pas comme un obstacle « en soi », mais elle peut le devenir lorsqu’elle se combine à d’autres facteurs (capacités de mobilité, maîtrise des contraintes professionnelles, charge familiale, etc.).
➡️ Enfin, la mise en perspective des pratiques de recours aux soins avec les représentations qu’en ont les enquêtés révèle que le vécu du manque et la propension à identifier et percevoir des obstacles dans l’accès aux soins ne sont pas nécessairement corrélés avec la « réalité » des difficultés rencontrées.
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La loi de 2015 portant sur la réforme de la carte des régions ne paraissait guère porteuse d’une logique de transformation. En effet, elle a été perçue comme un prétexte pour démontrer la capacité du président Hollande à réformer, sans que l’objet de la réforme, à savoir le fait régional et ses transformations éventuelles, ait été au cœur du débat.
Pourtant, en favorisant la création de régions de très grande taille, elle a actualisé et en partie renouvelé la promesse historique confiée à l’échelon régional depuis près de soixante-dix ans maintenant : celle d’une institution capable à la fois de « moderniser » la société par les politiques publiques qu’elle mène (développement économique et aménagement du territoire notamment) et par la façon plus stratégique de les conduire (la planification et les contrats entre l’État, les régions et les autres collectivités locales, entre autres).
Une ordonnance du 12 mai entend favoriser le développement de l’exercice coordonné des professionnels de santé grâce aux communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS), constituées sous forme d’associations conventionnant avec l’ARS et la CPAM pour assurer diverses missions liées à l’accès aux soins, à la prévention, etc. Elle assouplit par ailleurs le fonctionnement des maisons de santé pluridisciplinaires (MSP), notamment quant au possible salariat des professionnels qui y exercent. Une autre ordonnance du même jour porte sur les équipements lourds, parfois subventionnés par les collectivités, et sur l’hospitalisation à domicile (HAD).
Certains prédisent la fn des grandes villes. La crise, sanitaire et sociale, révèle et accentue les fragilités des
métropoles qui pourraient s’aggraver avec le dérèglement climatique. D’autres appellent à leur réinvention pour en assurer la résilience. Ils prônent une vraie coopération entre les différents tissus urbains et ruraux.
Regards d’acteurs sur trois quartiers de la métropole bordelaise
Bordeaux Métropole a proposé à l’a-urba d’engager une réflexion sur la mobilité dans les QPV pour :
- identifier et qualifier les difficultés des habitants
- déterminer si ces quartiers, désormais reliés au reste du territoire métropolitain par des lignes de transports structurantes, présentent toujours des caractéristiques spécifiques en matière de mobilité.
Il s’agit d’étudier la mobilité dans toutes ses composantes que ce soit les mobilités actives, l’accès au transport collectif et individuel ou encore le stationnement.
Pour cela, les équipes de l’a-urba ont effectué des entretiens dans trois quartiers tests de l’agglomération : le quartier Terres Neuves à Bègles, le quartier Carriet intermédiaire à Lormont et le quartier Yser Pont-Madame à Mérignac.
Entre 2015 et 2016, les habitants des QPV de la Métropole de Lyon sont peu mobiles, en particulier ceux de Lyon et de Villeurbanne. Les habitants de ces QPV du centre déménagent plus souvent dans la Métropole (hors QPV), tandis que ceux des autres QPV changent de logement davantage en interne. La forte pression de la demande en logement social et la tension globale du marché du logement freinent les mobilités. Les personnes effectuant une mobilité entre QPV (le même ou un autre) sont plus pauvres que les habitants non mobiles. Les arrivants ne venant pas d’un QPV ont un niveau de pauvreté proche de celui de la population résidente. Les partants des QPV de la Métropole, au niveau de vie plus élevé, s’installent très majoritairement hors QPV et résident alors pour moitié dans le parc privé.
Afin d’alimenter la réflexion sur les questions de territorialisation en santé, LISA conduit des entretiens avec un certain nombre de personnalités. Neuvième de cette série : François Alla.
France urbaine a souhaité disposer d’un panorama de la situation pour proposer aux territoires urbains volontaires des démarches expérimentales, respectueuses de la diversité politique des élus, susceptibles d’être mises en œuvre avec l’État et les collectivités concernées, et surtout s’inscrivant dans une logique de démonstration par la preuve.
Ainsi, l’association présidée par Johanna Rolland, maire de Nantes et présidente de Nantes Métropole, a missionné Mathieu Klein, Maire de Nancy, président de la Métropole du Grand Nancy et co-président de la commission « Solidarités, lutte contre les inégalités et la pauvreté » de France urbaine. Un cadre et des objectifs de travail ont été définis, une douzaine d’auditions ont été menées auprès de membres de gouvernement, associations d’élus, têtes de réseaux des opérateurs et acteurs sociaux, organisations syndicales et des associations œuvrant au quotidien.
A l’issue de ce travail d’enquête et d’auditions, France urbaine propose 4 scénarii d’expérimentation au gouvernement pour lutter contre la précarité des jeunes âgés de 18 à 25 ans :
- Privilégier l’accès aux biens et services essentiels contre la précarité
- Ouvrir un droit universel à l’accompagnement vers l’emploi
- Accompagner l’universalisation de la Garantie jeunes
- Créer un revenu de solidarité jeunesse
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L’ADEME met à disposition des collectivités territoriales un recueil de documents d’urbanisme (PLU, PLUi, SCoT) intégrant de manière ambitieuse les enjeux de la Transition Ecologique et Energétique (TEE). Il réunit des exemples concrets et inspirants aux territoires souhaitant s’engager dans des démarches exemplaires de planification urbaine. Les 54 documents d’urbanisme[…]
Le contrat de ville est le cadre qui définit les grandes orientations partenariales pour répondre aux enjeux des quartiers inscrits en Politique de la Ville (QPV). Signés en 2015 pour une durée de 5 ans, les actuels contrats ont été prorogés jusqu’à fin 2022, pour permettre un recalage sur les « méta » contrats que sont les contrats de Plan Etat – Région et la future programmation des Fonds structurels européens.
Alors que de nombreux professionnels du développement urbain et social regrettent l’extrême institutionnalisation et le poids des procédures administratives, et que la crise sanitaire, économique et sociale exacerbe les défis de ces territoires, cette période charnière nous a semblé propice pour repenser le contrat et le sens de l’action qu’il porte, pour en faire un outil d’engagement réciproque et d’action en commun, impliquant tous les acteurs des territoires concernés.
Depuis l’automne 2019, les équipes locales des quatre-vingt Cités éducatives labellisées œuvrent à l’élaboration de leurs programmes d’actions et à la rédaction des conventions qui noueront les partenariats sur lesquelles elles pourront se déployer. A travers l’analyse de ces opérations de traduction du cadrage national, entre le lancement du programme et à la veille de l’été 2020, le réseau national des centres de ressources politique de la ville propose une première lecture de la façon dont les Cités éducatives viennent transformer la manière de penser et mettre en œuvre les coopérations éducatives.
Les villes sont-elles saines ? L’urbanisme vise-t-il au bien-être des populations et organise-t-il les territoires urbanisés dans ce sens ? Les habitants sont-ils en meilleure santé en ville que dans les villages ? Aborder un tel sujet exige de bien le circonscrire afin d’élaborer une géohistoire se gardant de tout anachronisme puisqu’elle expose non pas un déroulé chronologique continu, itératif, progressif, reposant sur une explicitation a posteriori mais cherche à saisir une « climatique » propre à une période, en pointant les discontinuités, arrêts, sauts, retours en arrière, hybridations, qui la rythment.
Ce guide a pour objectif d’aider les acteurs publics à mieux identifier et mettre en œuvre ce qui fonctionne. Il vise à renforcer le déploiement d’une action publique s’appuyant sur la preuve de son efficacité.
Il s’adresse aux décideurs et aux agents d’organismes publics intervenant à différents niveaux et sur tous les secteurs de l’action publique (petite enfance, jeunesse, insertion, hébergement/logement, santé, éducation…).
Il ne nécessite aucun prérequis en matière d’évaluation de politiques publiques. Chacun pourra y trouver des éléments
adaptés à son degré de connaissances en la matière, d’une première sensibilisation à des préconisations concrètes.
« Les filles du coin » est une recherche qui fait écho à l’enquête majeure sur la jeunesse rurale réalisée il y a 20 ans par Nicolas Renahy et intitulée « Les gars du coin ». Elle a pour objectif de rendre compte des trajectoires, conditions de vie et expériences juvéniles des jeunes femmes vivant en milieu rural et de poursuivre les travaux de sociologie sur les jeunesses rurales, en documentant les éventuelles spécificités rencontrées par les jeunes femmes résidant hors des grandes agglomérations en France hexagonale.
Les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) regroupent 5,4 millions d’habitants dont 40 % ont moins de 25 ans1. La population des QPV est donc une population jeune, plus jeune que dans le reste de la France métropolitaine, où les moins de 25 ans représentent 29 %. Davantage touchés par les inégalités scolaires et par le chômage, les jeunes des QPV restent défiants par rapport aux politiques et aux institutions qui les considèrent plus comme un problème que comme une ressource possible.
Le plan France Relance se fixe trois priorités : l’écologie, la compétitivité et la cohésion sociale. Pour se faire, le plan de relance mobilise 100 milliards d’euros (M€). En matière de cohésion territoriale, les rédacteurs de ce plan insistent bien sur le fait qu’il concerne tous les territoires, à toutes les échelles. Il n’en reste pas moins que les quartiers prioritaires de la Politique de la ville apparaissent comme “une cible territoriale” de ce plan de relance. Et ceci, même s’il ne s’agit que d’une cible parmi d’autres.
Découvrez ce guide à destination de l’ingénierie en charge du déploiement des démarches alimentaires territoriales. Comment mieux mobiliser les élus locaux sur les enjeux d’une transition alimentaire à l’échelle du territoire ? Comment accompagner la prise de conscience avec des actions concrètes ?
Loin de l’image d’Épinal, les centres de grandes villes sont aussi des lieux de concentration de pauvreté de masse, a analysé le géographe Jacques Lévy, lors d’une table ronde organisée au Sénat le 10 mars 2021. Récusant la théorie du « ruissellement » des métropoles autant que l’idée de « dette » d’un territoire envers un autre, il pense que l’essentiel des politiques publiques va devoir engager une « coproduction de biens publics » .
Trois ans après la publication de l’Évaluation des impacts sur la santé (EIS) du Programme d’actions de prévention des inondations (PAPI) de l’Île de Noirmoutier, l’Observatoire régional de la santé (ORS) Pays de la Loire et Patrick Berry Consultant ont interrogé les acteurs ayant participé à cette EIS afin de mesurer la mise en œuvre de ses recommandations, d’estimer les changements induits en termes de prise en compte des habitants et notamment de leur santé dans les politiques locales, et de tenter de déterminer dans quelle mesure ces effets observés pouvaient être attribués à l’EIS.
Fabrique Territoires Santé a organisé le 3 mars 2021 un webinaire « Quelle organisation locale pour porter des politiques territoriales de santé ? ». Avec : Laurent El Ghozi, président d’honneur d’Elus, Santé Publique & Territoires ; Yves Charpak, chercheur en santé publique ; Florence Dubois, cheffe du service Santé – Handicap – Lutte contre les discriminations de Cherbourg-en-Cotentin ; et Delphine Floury, cheffe du service Santé publique de Saint-Denis.
L’IFERISS (Institut fédératif d’études et de recherches interdisciplinaires santé société) a organisé un symposium sur « la fabrique des inégalités sociales de santé passée au crible des sciences sociales ». Les différentes séquences sont disponibles en ligne.

Le contrat local de santé (CLS) est un outil porté conjointement par l’agence régionale de santé (ARS) et une collectivité territoriale pour réduire les inégalités territoriales et sociales de santé. Il est l’expression des dynamiques locales partagées entre acteurs et partenaires sur le terrain pour mettre en œuvre des actions, au plus près des besoins des populations.
Continuer à lire « Plus de cinquante portraits de territoires pour mieux connaître les contrats locaux de santé (CLS) de Nouvelle-Aquitaine »Promouvoir l’activité physique dans les territoires est un dossier de connaissances appartenant à la collection D-CoDé Santé. Il a été réalisé dans une perspective d’aide à la décision en santé publique et en promotion de la santé.
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Le plan France Relance se fixe trois priorités : l’écologie, la compétitivité et la cohésion sociale. Pour se faire, le plan de relance mobilise 100 milliards d’euros (M€). En matière de cohésion territoriale, les rédacteurs de ce plan insistent bien sur le fait qu’il concerne tous les territoires, à toutes les échelles. Il n’en reste pas moins que les quartiers prioritaires de la Politique de la ville apparaissent comme “une cible territoriale” de ce plan de relance. Et ceci, même s’il ne s’agit que d’une cible parmi d’autres.
Visant à intensifier les prises en charges éducatives des enfants et des jeunes, de 0 à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire », les cités éducatives ont été mises en œuvre en 2019 au sein de quartiers prioritaires de la politique de la ville. Elles doivent prévoir leur évaluation comme indiqué dans la convention-cadre qui formalise les engagements de l’État et de la collectivité porteuse. Cette note fait état de la diversité des démarches d’évaluation envisagées par les cités éducatives à travers l’analyse de 51 protocoles de suivi et d’évaluation mis à disposition de l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (INJEP).
Des fiches thématiques réalisées dans le cadre de l’Evaluation d’Impact en Santé (EIS) du quartier Air Bel à Marseille
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Ce document est un recueil de 10 fiches thématiques (mobilités actives et activité physique ; relations sociales, mixité sociale et intergénérationnelle ; accès aux équipements et activités économiques ; cadre de vie, espaces verts ; accidents de la route ; tranquillité publique, délinquance ; allergies respiratoires ; pollution atmosphérique ; bruit ; ilots de chaleur urbain) réalisées par l’ORS Paca dans le cadre d’une évaluation d’impact en santé pour un projet de renouvellement urbain et proposant des recommandations fondées sur des données scientifiques (issues d’une recherche bibliographique).
Alors que nous vivons depuis un an une situation de crise sanitaire doublée de terribles conséquences économiques et sociales, le Labo de l’ESS publie une nouvelle étude sur l’économie sociale et solidaire au sein de l’organisation des soins en France. Réalisé en partenariat avec la Caisse des dépôts – Banque des Territoires, ce travail est orienté sur l’accès aux soins de premier recours, en tant que première porte d’entrée dans le système de santé.
http://lelabo-ess.org/etude-un-systeme-de-sante-pour-toutes-et-tous.html
Les associations doivent faire face à une augmentation des besoins sociaux et cela dans un contexte économique de plus en plus contraint, marqué par l’épidémie de Covid-19. Même si elles continuent d’agir pour la cohésion sociale, force est de constater que la crise sanitaire a eu des conséquences importantes pour elles, d’autant plus pour celles intervenant dans les QPV, avec une perte de revenus significatives ou encore une baisse des ressources des cotisations. Pour ces raisons, un collectif d’acteurs associatifs, porté par Le Mouvement associatif, en partenariat avec la Fédération des centres sociaux et socioculturels de France et avec le soutien de l’ANCT, publie « 16 propositions pour une vie associative ambitieuse dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville », à destination des pouvoirs publics nationaux, des pouvoirs publics territoriaux et des acteurs associatifs.
Ce document présente les résultats d’une revue exploratoire de la littérature portant sur les outils et méthodes existants qui permettent d’intégrer des préoccupations de santé dans les politiques et les stratégies d’adaptation et d’atténuation relatives aux changements climatiques.
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La revue de la littérature scientifique et de la littérature grise a permis de repérer treize outils et méthodes qui ont été classés en cinq catégories :
1) Les outils d’évaluation d’impact;
2) Les outils pour intégrer la santé dans les politiques et les stratégies d’adaptation;
3) Les modèles;
4) Les cadres conceptuels;
5) Les autres approches méthodologiques.
Ce document décrit brièvement ces outils et ces méthodes. Il s’adresse aux acteurs de la santé publique et d’autres acteurs qui souhaiteraient maximiser les avantages en termes de santé de scénarios d’atténuation ou d’adaptation relatifs aux changements climatiques. Des hyperliens menant à des exemples d’outils et de méthodes présentés dans ce document sont inclus pour ceux qui souhaiteraient en apprendre davantage.
Outils et méthodes pour intégrer la santé dans les politiques et stratégies d’adaptation et d’atténuation relatives aux changements climatiques
49 pages -fichier pdf 820 Ko
Source : http://www.ccnpps.ca/
Fabrique Territoires Santé a organisé le 20 janvier 2021 un webinaire « Evolution et impact de la territorialisation des politiques publiques sur les politiques de santé ».
Renaud Epstein, maître de conférences en sciences politiques à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, Carole Bégou, coordonnatrice CLS et CLSM d’Echirolles et Khalid Ida-Ali, président de l’IRDSU & directeur du développement social et urbain de Vitry-le-François s ont apporté leurs témoignages et éclairages. Le replay est disponible ci-dessous ou sur Youtube.
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Cette grille d’analyse propose plusieurs étapes afin d’identifier et d’analyser la place des inégalités sociales de Santé dans des projets d’éducation et de promotion à la santé-environnement. En premier lieu, les liens entre ESE et ISS seront évoqués. Ensuite, nous aborderons le fonctionnement de cette grille (origine, rôle, public cible, quand et comment l’utiliser, etc.).
En 2017, Clermont-Ferrand a été la première cité française à rejoindre le réseau UNESCO, avant que Mantes-la-Jolie, Montpellier et Évry-Courcouronnes ne soient retenues à leur tour. Les divers acteurs de ce processus souhaitent aujourd’hui croiser leurs regards avec d’autres expériences nationales et internationales, permettant d’apporter un éclairage extérieur sur leur action y compris face à la crise du coronavirus. Comprendre ce qui se passe aujourd’hui est peut-être le meilleur moyen de penser « l’après ».
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Donner plus de place à la nature s’affirme comme un enjeu majeur dans la fabrique de la ville.
La crise sanitaire et les derniers épisodes caniculaires ravivent d’autant plus le besoin d’accès à des lieux agréables, frais et végétalisés près de chez soi. En explorant l’une de ses facettes -celle de la nature dans la ville constituée- l’Agam s’interroge sur la manière de planifier et tirer parti d’un matériau « vivant » en ville.
Cette première approche analyse les accélérateurs au développement de la nature en ville avant de défricher les différentes formes de végétalisation en ville pour battre en brèche ses idées reçues.
« Le moral des habitants est affecté par les travaux, mais aussi par la conduite du projet (notamment les processus de relogement). Parfois on ne nous demande rien, la rénovation urbaine est subie » nous dit une habitante d’un quartier en cours de rénovation.
Un projet de transformation urbaine peut et devrait être une formidable opportunité d’améliorer le cadre de vie et par là-même d’agir en faveur de la santé des habitant·es. Pourtant, sur le terrain les collaborations entre urbanisme et santé sont encore embryonnaires.
On constate que lorsqu’un projet de renouvellement urbain intègre les questions de santé, les réponses apportées reposent d’abord sur des outils techniques (choix des matériaux), méthodologiques (évaluations d’impact sur la santé) ou sur la construction de nouveaux équipements, notamment des maisons de santé. Au- delà des diagnostics, on répertorie encore peu de démarches intégrées, comme celles s’appuyant sur le concept d’urbanisme favorable à la santé.
Comment passer de la (bonne) intention à la réalisation de projets urbains promoteurs de bien-être pour les habitant·es présent·es et futur·es ? Ce Dossier ressources nous invite à faire le point et mesurer le chemin qu’il reste à parcourir.
Il est le fruit d’une réflexion collective du réseau de Fabrique Territoires Santé, alimentée par une analyse documentaire, une série de rencontres et interviews et une capitalisation d’actions locales menées entre juin 2019 et septembre 2020.
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Fabrique Territoires Santé a organisé le 16 décembre 2020 un webinaire « Face à la crise sanitaire, la santé publique se fait-elle en équipe sur les territoires ? ».
Laurent Chambaud, directeur de l’EHESP, Pascale Echard-Bezault, directrice du service santé d’Evry-Courcouronnes et Laurent El Ghozi, président d’honneur d’Elus, santé publique & territoires ont apporté leurs témoignages et éclairages. Le replay est disponible ci-dessous ou surYoutube.
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Observe-t-on des inégalités en termes d’espérance de vie entre territoires ruraux et urbains et observe-t-on dans le temps long des périodes de rattrapage et/ou de creusement de ces inégalités ?
Un constat sans appel grâce à cette étude de l’espérance de vie à la naissance à l’échelle départementale en fonction de la grille de densité rural/urbain :
– Les habitants du rural vivent 2 ans de moins que ceux des villes
– Les écarts d’espérance de vie s’aggravent au cours des trente dernières années entre départements ruraux et département urbains
Les habitants du monde rural ont-ils le même accès aux soins hospitaliers que les habitants des villes ? L’étude montre que les habitants du rural consomment 20 % de soins hospitaliers en moins que ceux des villes (à âge et sexe égal) ; les indices comparatifs d’hospitalisation montrent une progression continue depuis les territoires les moins peuplées jusqu’aux centres urbains…
Voir l’article original 28 mots de plus
L’URPS Médecins Libéraux a rédigé un dossier complet sur les CPTS dans son journal trimestriel
Économies d’échelle, gouvernance plus efficace, attractivité et compétitivité plus grandes… la création des métropoles (aujourd’hui au nombre de 22) devait produire de nombreux effets bénéfiques. Mais les résultats tardent à venir, selon « un premier bilan » de la Cour des comptes.
Mettre en commun les idées et les moyens des acteurs municipaux et des acteurs de la santé publique est bien souvent une voie prometteuse pour atteindre des objectifs communs qui favorisent la santé de la population.
Que vous cherchiez à établir un nouveau contact avec une municipalité ou à entretenir une collaboration existante, ce guide pratique qui fait la synthèse d’une trentaine de ressources canadiennes vous propose un parcours adapté à votre situation. Les conseils présentés s’appuient sur l’expérience des principaux intéressés : élus, fonctionnaires municipaux et acteurs de la santé publique impliqués dans des collaborations.
Les déterminants de la santé mentale sont multifactoriels aussi, la réponse ne peut être que plurielle pour être efficace. Un CLSM permet de mieux appréhender la situation du territoire dans sa globalité. La dynamique des acteurs locaux, l’environnement, les enjeux de pouvoir, les moyens financiers et humains dédiés, les conditions de travail, sont autant de facteurs qui vont avoir un impact sur le CLSM et sa dynamique. La coordination n’est pas spontanée et ne va pas de soi. C’est un arsenal de savoir-faire, de savoir-être et de qualités qui vont permettre à l’alchimie de se réaliser. Coordinateur.trice de CLSM est un métier à part entière, aujourd’hui encore trop peu reconnu, et qui est pourtant essentiel pour promouvoir une pensée moderne et innovante de la prise en charge de la vie psychique au sein de la collectivité et du secteur.
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Une Evaluation des Impacts en Santé est en cours de réalisation sur la Communauté de Communes du Nord Est Béarn, dans le cadre de la préservation d’un réseau d’espaces de nature, appelé Trame Verte et Bleue. Le défi majeur de cette EIS est d’améliorer la santé des habitants et de l’environnement et de proposer des actions opérationnelles aux élus du territoire. Explications avec Clément Crozet, de l’un des bureaux d’étude retenus, Architecture et Santé.
L’accessibilité aux soins de santé est une problématique importante au Québec.
Aujourd’hui, le développement des technologies dans le secteur de la santé offre des possibilités intéressantes pour améliorer l’accessibilité aux soins de santé.
L’objectif de cette recherche est d’identifier les options qu’offre la santé numérique pour améliorer l’accessibilité aux services de soins de santé au Québec, plus particulièrement dans les régions éloignées.
- Cette étude montre que la santé numérique offre des bénéfices à la fois pour les patients et pour les professionnels de la santé, et qu’elle favorise l’accessibilité aux soins de santé dans les régions rurales de la province.
- Les barrières devant être franchies afin d’assurer un accès aux services de santé à l’ensemble de la population québécoise sont également identifiées.
François, J., & Audrain-Pontevia, A.-F. (2020). La santé numérique : un levier pour améliorer l’accessibilité aux soins de santé au Québec. Revue Organisations & Territoires, 29(3), 41-55.
L’Association des maires de France et la Mutualité française ont présenté conjointement le 8 décembre leur premier « Baromètre santé-social », qui met l’accent sur les disparités territoriales en matière d’accès aux soins, de santé environnementale, d’Ehpad et de petite enfance.
L’Agence nationale de cohésion des territoires (ANCT) lance une plateforme collaborative destinée à l’ensemble des acteurs de la politique de la ville. Elle permet d’accéder à l’actualité de la politique de la ville et diverses ressources, et à un espace d’échange avec tous ceux qui agissent dans les quartiers : Etat, collectivités, associations, habitants, conseillers citoyens, adultes-relais, médiateurs…
Fabrique Territoires Santé a organisé et animé un webinaire dans le cadre du Salon des maires, organisé cette année en ligne. Autour du rôle des collectivités territoriales dans la lutte contre les inégalités sociales de santé, Jean-Luc Roelandt, directeur du CCOMS, Laurent El-Ghozi, ex-président de l’association Elus, santé publique et territoires, et Carole Bégou, responsable santé du CCAS d’Echirolles ont apporté leurs éclairages.
Depuis 40 ans, la politique de la ville a pour objectif de réduire les écarts entre les quartiers dits « prioritaires » et les autres, en améliorant les conditions de vie de leurs habitants. L’État y consacre environ 10 Md€ chaque année, auxquels s’ajoutent les financements de la rénovation urbaine et les dépenses, difficilement mesurables, des collectivités territoriales. En s’appuyant sur une enquête nationale et l’étude approfondie de la situation de huit quartiers prioritaires, la Cour et quatre chambres régionales des comptes ont procédé à l’évaluation d’un des objectifs clefs de cette politique publique : l’attractivité des quartiers prioritaires autour de trois dimensions de la vie quotidienne : le logement, l’éducation et l’activité économique. En dépit des moyens financiers et humains déployés, cette attractivité a peu progressé en dix ans. Pour y remédier, la Cour formule quatre orientations générales et 13 recommandations.
L’observatoire Plae de la santé, instance de la Mutualité française, a réalisé une étude sur l’accès aux soins. Elle comporte une analyse à partir de différentes sources de données permettant une mise en perspective ainsi qu’une enquête réalisée auprès du grand public et des entretiens avec des professionnels de santé. Elle vise à démontrer que, sans mesures fortes sur l’organisation des soins, des pouvoirs publics ou par les professions de santé, l’accroissement des inégalités est inéluctable.
Avec la pandémie de Covid-19, la question du lien entre urbanisme et santé est d’une actualité brulante : l’urbanisation croissante peut-elle expliquer la survenue de cette nouvelle zoonose ? La densité peut-elle être tenue pour responsable de la diffusion rapide du virus ? L’adoption de nouveaux comportements peut-elle freiner la propagation ? Peut-on transformer l’espace urbain pour aider les individus à adopter les « bons gestes » ? Quitter la ville permettrait-il de protéger sa santé ?
Ce document présente des conseils basés sur les perspectives d’élus, de fonctionnaires municipaux et d’acteurs de la santé publique impliqués dans des collaborations.
Mettre en commun les idées et les moyens des acteurs municipaux et des acteurs de la santé publique est bien souvent une voie prometteuse pour atteindre des objectifs communs qui favorisent la santé de la population.
Etablir un nouveau contact avec une municipalité ou à entretenir une collaboration existante, ce guide pratique fait la synthèse d’une trentaine de ressources canadiennes et propose différents parcours.
Comment collaborer avec les municipalités? Un guide pratique pour les acteurs de la santé publique (fichier pdf, 49 pages, 1,5 Mo)
Source : http://www.ccnpps.ca/
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Le CRES et l’ARS Provence-Alpes-Côte d’Azur ont organisé le 22 septembre 2020 une journée d’échanges régionale intitulée « Santé environnementale et collectivités locales : la place du contrat local de santé (CLS) ». Les supports de présentation sont disponibles sur le site du CRES ainsi qu’un article, « Le CLS, une opportunité pour la santé environnementale », écrit en lien avec la journée, dans la revue Priorités santé.
Les équipes de l’ARS Île-de-France et leurs partenaires mettent à disposition des collectivités et des aménageurs franciliens une boîte à outils pour faciliter les premières réflexions liant urbanisme et santé, sur leurs territoires.
Cette boîte à outils est constituée de différentes ressources pédagogiques, informatives et expertes.
Source : Boîte à outils urbanisme en santé | Agence régionale de santé Ile-de-France
Ce nouveau guide (en anglais) du bureau régional Européen de l’OMS apporte des pistes d’actions à mettre en oeuvre à tous les niveaux
Le réseau des villes santé OMS en fait une synthèse en français sur son compte twitter
Recommandation #1 Améliorer nos connaissances sur les populations et individus pour mieux adapter les politiques mises en oeuvre, quels groupes sont plus à risque de « fatigue », les raisons (contexte social, culturel, professionnel, ou légal)
Recommandation #2 Faire participer les populations comme actrices de la solution, écouter et engager pour mieux répondre aux besoins; impliquer la société civile et s’appuyer sur leurs connaissances
Recommandation #3 Trouver un équilibre entre restrictions et continuité des activités de la vie quotidienne, penser approche de ‘réduction des risques’ et aider le public à comprendre ce qu’est un comportement à haut risque ou à risque limité, encourager à ‘faire différemment’
Recommandation #4 Identifier les difficultés rencontrées par les populations, reconnaître le stress, la solitude et l’ennui engendrés par les restrictions, soutenir les initiatives sociales, culturelles, financières ou de soutien emotionnel, faciliter les nouvelles habitudes
Pour finir, le guide propose des grands principes directeurs tels que la transparence, l’équité, la cohérence, la coordination entre acteurs et, le plus possible, la prédictibilité. A intégrer dès maintenant pour agir !
Ce nouvel ouvrage réalisé dans le cadre du projet de recherche interventionnelle GREENH-City est dédié aux espaces verts, une composante majeure de l’urbanisme favorable à la santé et véritable levier d’intervention pour les collectivités. Cette production collective illustre l’importance de la création d’environnements favorables à la santé et à l’équité pour les populations métropolitaines.
Cet ouvrage, coordonné par le Réseau français des Villes-Santé de l’OMS, a été produit par l’équipe de recherche du projet GreenH-City – GoveRnance for Equity, ENvironment and Health in the city – piloté par les chercheures de l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique et mené en partenariat avec l’Université Paris-Nanterre, l’Université de Genève et le Réseau français des Villes-Santé
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Source : Guides méthodologiques du RFVS de l’OMS | Réseau français des Villes-Santé de l’OMS
“ Soutenir des démarches positives sur les territoires ” Les élus des collectivités territoriales sont les artisans des politiques de santé. Ils sont investis sur des territoires où les populations naissent, grandissent, apprennent, vivent, travaillent, vieillissent… Les politiques et les actions qu’ils soutiennent sont autant des leviers qui peuvent être favorables ou défavorables à… Lire la suite
Source : Elu.e.s, acteurs.trices de la santé des populations – Pôle ressources
La quatrième édition de l’Observatoire-Place de la Santé est consacrée à l’accès territorial aux soins. Cette étude comporte une analyse à partir de différentes sources de données permettant une mise en perspective ainsi qu’une enquête réalisée auprès du grand public (plus de 1 000 répondants) et des entretiens avec des professionnels de santé. Elle vise à démontrer que, sans mesures fortes sur l’organisation des soins, des pouvoirs publics ou par les professions de santé, l’accroissement des inégalités est inéluctable.
Cliquer pour accéder à observatoire-mutualite-francaise_2020.pdf
Sous l’effet du dérèglement climatique, les crises environnementales, sanitaires et sociales mettent en exergue certaines vulnérabilités des milieux urbains tels qu’ils ont été développés au cours du XXe siècle. L’urbanisation des cinquante dernières années, que certains qualifient de galopante, a été stimulée par plusieurs périodes économiques fastes et des besoins en logements justifiés par une démographie nationale croissante.
Cette urbanisation marquée par une forte imperméabilisation des sols est l’une des conséquences du modèle de développement urbain guidé par l’automobile et le report de l’habitat et des activités en périphéries des centres anciens.
À l’image d’un écosystème appauvri ou d’un modèle agricole trop centré sur la mono-culture, certains espaces publics sont tellement simplifiés, rudimentaires dans leurs aménagements, qu’ils contribuent à la création d’îlots de chaleur urbains (ICU) . Ils ne comportent aucune zone refuge qui soit confortable lors de fortes chaleurs. Les choses semblent évoluer vers un regain d’intérêt pour une nature en ville plus présente.
Au-delà de ses fonctions esthétiques et environnementales, le végétal en milieu urbain est de plus en plus appréhendé comme une infrastructure vivante, support de mobilités douces, de loisirs et de santé publique. Dans cette logique, et afin de contrecarrer les effets des îlots de chaleur dans nos villes, les espaces publics tendent de plus en plus à offrir à leurs usagers des îlots de fraîcheur, prenant toutes sortes de formes, de la pergola à la forêt urbaine, en passant par le bosquet ou la place plantée.
Pourquoi, où et comment aménager au mieux ces nouvelles oasis urbaines ?
Une étude réalisée par l’A’Urba dans le cadre de sa collection : Regard sur l’espace public
Source : De l’îlot de chaleur urbain à l’îlot de fraîcheur – a’urba, agence d’urbanisme Bordeaux Aquitaine
France Assos Santé diffuse les actes de sa rencontre organisée en novembre 2019 : « Renoncement aux soins, restes à charge, refus de soins : comment lever les barrières de l’accès aux soins ? ».
L’IRDSU a organisé ses journées nationales fin août sur le thème « DSU et transition(s) : agir, vite ! ». L’intégralité des séquences est disponible en vidéos.
En 2018, en France métropolitaine, le niveau de vie médian de la population s’élève à 21 250 euros annuels, soit 0,3 % de plus qu’en 2017 en euros constants. Il poursuit sa lente progression
Source : En 2018, les inégalités de niveau de vie augmentent – Insee Première – 1813
Six ans après leur création, les projets alimentaires territoriaux avancent timidement, faute de financements. En leur dédiant une enveloppe de 80 millions d’euros, le plan de relance devrait consolider la démarche. D’autant que le gouvernement réduit la voilure et ambitionne de se concentrer sur « un PAT par département » et non plus 500. Au croisement de nombreux enjeux (souveraineté alimentaire, lutte contre la précarité alimentaire, agro-écologie…), le PAT de la métropole d’Aix-Marseille montre une réelle capacité d’adaptation. Témoignages des acteurs concernés à l’occasion de la journée de débats organisée le 18 septembre par le Réseau Cocagne.
Source : Projets alimentaires territoriaux : comment passer de la réflexion à l’action ?
En baskets, à vélo, en skate… le sport s’impose dans nos villes comme un besoin vital d’oxygène dans un monde de plus en plus urbain, sédentaire et digital. Parce qu’il se pratique aujourd’hui partout et tout le temps, parce qu’il est un vecteur de convivialité et d’attractivité des territoires, un outil d’inclusion sociale comme de santé publique, le sport est au cœur de la transformation des métropoles.
https://www.institutparisregion.fr/nos-travaux/publications/le-sport-rythme-la-ville.html
L’APVF propose une transformation de notre système de soins et l’instauration d’une véritable démocratie sanitaire dans les territoires fondées sur la proximité et une logique de coopération entre tous les acteurs du système de soins. Avec un chantier prioritaire : la lutte contre la désertification médicale.
Avec son enveloppe totale de 28 milliards d’euros, le Ségur de la santé, initié pendant la crise sanitaire, représente un effort collectif inédit en faveur du secteur hospitalier et des Ehpad. Certes, de nombreuses questions demeurent, notamment sur le volet de la gouvernance du système de santé. Deux grandes réformes sont en effet attendues, et pourraient d’ailleurs n’en faire qu’une : le projet de loi Grand âge et le chantier de la création d’une cinquième branche, annonce surprise de mai dernier.
https://www.banquedesterritoires.fr/sante-social-six-mois-qui-comptent-pour-dix-ans
Vous êtes coordonnateur·rice santé, directeur.rice générale des services, collaborateur·rice de cabinet… À la suite des élections municipales, une nouvelle équipe s’est mise en place. Fabrique Territoires Santé a réuni une courte sélection (non-exhaustive) de schémas et documents pour appuyer vos arguments pour la mise en place et la pérennisation de démarches territoriales de santé.
L’Observatoire national de la politique de la ville publie son Rapport 2019. Composé de 8 études et 40 fiches synthétiques, cette édition s’intéresse à la question du « bien vivre » dans les quartiers prioritaires.
Le présent rapport croise les différents aspects du bien vivre proposés par les travaux académiques. Il propose une approche multidimensionnelle appréhendant le bien vivre à partir d’indicateurs objectifs et subjectifs, pour proposer un panorama de huit études et quarante fiches sur le cadre de vie des habitants des quartiers prioritaires et sur leurs conditions de vie.
http://biblio.reseau-reci.org/doc_num.php?explnum_id=1337
Un guide à destination des maires et des élus afin de mettre en place des mesures pour limiter l’exposition des enfants aux polluants chimiques
nouvelleaquitaine-santeenvironnement.org
Dans le cadre de sa stratégie santé environnement petite enfance, l’ARS Nouvelle-Aquitaine présente l’édition d’un second guide de recommandations dédié, cette fois, aux crèches à bâtir ou à rénover.
Ce guide réalisé par l’association EKOLONDOI est le fruit de 3 ans de collaboration avec différents partenaires
- Télécharger le guide RecoCrèches 2 : Guide de recommandations pour l’accueil d’enfants dans un environnement sain : Bâtir & Rénover
- Pour consultez le guide RecoCrèches 1 : Guide de recommandations pour l’accueil d’enfants dans un environnement sain »
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Depuis plusieurs années au Québec, de nombreuses municipalités collaborent avec des partenaires nationaux, régionaux et locaux pour créer des environnements favorables à la santé et à la qualité de vie. Dans le cadre de la stratégie d’évaluation de la démarche « Prendre soin de notre monde », trois études de cas ont été réalisées. L’analyse intégrée de ces études permet de faire ressortir des constats sur les pratiques et les conditions qui favorisent les collaborations réussies et leurs retombées positives
Lire la présentation et le résumé : Création d’environnements favorables à la santé et à la qualité de vie en milieux municipaux : analyse des pratiques et facteurs de succès | INSPQ
La pratique sportive longtemps cantonnée aux espaces clos des salles sportives investit de plus en plus l’espace public des villes. Rues, esplanades, parcs, toits terrasses, la ville se réinvente en un gigantesque terrain de sport.
Les villes aussi mettent en place des politiques d’aménagement de l’espace public pour encourager et faciliter la pratique sportive. Marseille, ville passionnée de sports, possède en son sein tous les atouts pour l’émergence d’une pratique sportive libre, gratuite et auto organisée. Autant d’atouts à mettre en valeur à l’ère du sport-santé.
Versé aux travaux du Ségur de la santé, le rapport sur « la gouvernance et la simplification hospitalières » remis le 17 juin par le professeur Olivier Claris propose notamment de « renforcer la structuration du territoire de santé et réaffirmer la juste place des élus ». La gouvernance devrait aussi s’appuyer sur un conseil territorial « aux compétences plus affirmées », préconise-t-il.
L’Assemblée des communautés de France et France urbaine publient leur contribution commune au Ségur de la Santé. Les deux associations d’élus plaident pour une « responsabilité partagée de l’État et des collectivités territoriales sur la politique de santé ». Leurs propositions s’organisent autour de quatre enjeux : mieux articuler les périmètres de l’administration sanitaire avec ceux des collectivités, mieux associer les élus locaux à la gouvernance des communautés professionnelles territoriales de santé et des hôpitaux de proximité, généraliser les contrats locaux de santé, faire de « la santé mentale dans la cité » une priorité.
Le Centre de collaboration du Québec sur les politiques publiques et la santé publie un long entretien avec le Dr Hancock, où sont explorés les idées fondamentales de l’économie écologique pour les praticiens et décideurs en santé publique. Le thème général abordé est celui du respect des limites écologiques et de la nécessité de focaliser l’attention des politiques et de la santé publique sur le bien-être pour tous.
Dans le contexte où de nombreux gouvernements réfléchissent à des moyens d’aller au-delà d’un focus étroit sur la croissance économique pour aller vers la mise en œuvre de « budgets de bien-être » ou « budgets durables », les idées présentées dans ce document permettent d’informer ces réflexions.
http://www.ccnpps.ca/869/Publications.ccnpps?id_article=2051
Les agences d’urbanisme travaillent de manière croissante sur la santé dans les territoires ; des partenariats se sont construits avec les acteurs de la santé, notamment les agences régionales de santé, les ministères. Cet ouvrage de la collection « Points Fnau » aux Éditions Gallimard Alternatives rassemble des points de vue d’experts, mais aussi des témoignages d’expériences concrètes, avec pour objectifs de contribuer à cette connaissance commune et à ces actions transversales qu’il nous faut construire entre santé et aménagement.
Télécharger les extraits (42 pages, 28Mb)
source : http://www.fnau.org/
Dossier. Repenser les espaces publics avec les méthodes de l’urbanisme tactique pour accompagner un été sous Covid-19 dans les quartiers.
S’inspirer de l’urbanisme tactique et accompagner l’été dans les quartiers
Une instruction de la ministre de la Cohésion des territoires précise la doctrine d’intervention de l’Agence nationale de la cohésion des territoires, cinq mois après son lancement. Place à l’instruction des dossiers.
https://www.banquedesterritoires.fr/la-strategie-dintervention-de-lanct-enfin-publiee
Depuis le début des années 2010, l’EHESP se saisit des relations entre les environnements urbains et la santé des populations pour développer un axe de recherche, d’expertise et de formation dédié à la promotion de la santé dans le champ de l’urbanisme. Le concept d’« Urbanisme Favorable à la Santé », initié en 1987 par le réseau des Villes-Santé de l’OMS Europe, a ainsi été progressivement investi par une équipe pluridisciplinaire mise en place à l’EHESP. Basés sur une approche écosystémique de la santé, les travaux menés visent à tenir compte simultanément des conséquences sur la santé et l’environnement de tout projet d’urbanisme (urbanisme de planification et urbanisme opérationnel). Il s’agit d’encourager des choix d’aménagement et d’urbanisme qui minimisent l’exposition des populations aux facteurs de risque (polluants, isolement social, etc.), et qui maximisent leur exposition à des facteurs de protection (pratique d’activités physiques, accès aux soins, accès aux espaces verts, etc.). Pour faciliter l’intégration de la santé dans les projets d’aménagement et d’urbanisme, l’EHESP a élaboré plusieurs outils dont le nouveau guide ISadOrA (Intégration de la Santé dans les Opérations d’Aménagement) paru en mars 2020.
- Téléchargez le guide complet ISadOrA (.pdf, 32 Mo)
- Téléchargez la synthèse du guide ISadOrA (4 pages) (.pdf, 5 Mo)
Pour en savoir plus et accéder directement aux différentes clefs du guide ISadOrA : https://www.ehesp.fr/
En France, les mesures de confinement ont entraîné une baisse inédite de tous les déplacements, et un recul sans précédent des véhicules motorisés sur la voirie, laissant la place à de nombreuses opportunités de rééquilibrage de l’espace public.
Lors de la sortie du confinement, il est souhaitable que de nombreux français choisissent le vélo comme moyen de transport pour leurs trajets quotidiens.
Pour préparer l’espace public et améliorer les conditions sanitaires des cyclistes qui doivent se déplacer, le gouvernement a pris des mesures pour encourager la pratique du vélo par les Français avec le développement des pistes cyclables temporaires et le lancement d’un plan de 20 millions ’euros par le ministère de la Transition écologique et solidaire.
Pour soutenir cet élan, le Cerema, établissement public d’état, opérateur du ministère, a réalisé dans l’urgence ce document de recommandations techniques pour les collectivités qui souhaitent tester des solutions d’aménagement pour permettre de se déplacer à vélo de manière efficace et en sécurité.

Le réseau RESPECT de prise en charge de la souffrance psychosociale de l’agglomération montoise a pour objectif d’améliorer la prise en charge médico-sociale des publics en précarité. Il est animé par l’Ireps Nouvelle-Aquitaine.
Le acteurs du réseau sont les professionnels institutionnels et associatifs du médico-santé-social qui interviennent en prévention et éducation pour la santé sur le territoire de l’agglomération montoise.
Favoriser l’intégration des enjeux santé environnement dans les politiques locales – PRSE – Bretagne
Ce pack de 3 guides est à destination des collectivités pour les accompagner dans l’intégration des enjeux santé environnement dans leurs politiques locales.
- un guide méthodologique pour une meilleure prise en compte des enjeux santé environnement dans les politiques territoriales,
- un guide méthodologique d’aide à la réalisation d’un diagnostic local santé environnement (la version de ce document datant de 2016 vient d’être actualisée),
- un recueil d’initiatives intitulé « Santé Environnement, les territoires bretons s’engagent » qui vise à partager des bonnes pratiques de collectivités.
Elus, Santé Publique & Territoires a organisé sa 21e journée d’études en septembre 2019. Deux tables-rondes au programme : « L’éclosion d’un plaidoyer reconnaissant le rôle des villes dans la fabrique de la santé » et « Quels savoirs pour quelles décisions locales ? ». Les actes sont disponibles.
Matinée organisée par Profession Banlieue, en partenariat avec l’Agence régionale de santé Île-de-France et la délégation territoriale de Seine-Saint-Denis et l’Agence nationale de la rénovation urbaine le 9 novembre 2018 afin de faire un point d’étape sur la mise en œuvre du protocole de collaboration entre l’ARS Île-de-France et l’Anru.
Source : L’intégration des enjeux de santé dans les projets de renouvellement urbain
En 2018, les territoires sous-dotés en médecins généralistes concernent près de 6 % de la population
La DREES publie une nouvelle étude sur l’accessibilité aux médecins généralistes. Elle souligne qu’en raison d’un décalage croissant entre l’offre et la demande de soins, l’accessibilité géographique aux médecins généralistes a baissé de 3,3 % entre 2015 et 2018. En 2018, les Français ont accès en moyenne à 3,93 consultations par an et par habitant, contre 4,06 consultations en 2015. Les inégalités s’accentuent entre les communes les moins bien dotées et celles qui le sont le plus.
Les inégalités de santé se construisent dès l’enfance ; c’est pourquoi il est primordial que la promotion de la santé cible prioritairement les enfants. A ce titre, l’école est un lieu privilégié pour agir. Les interactions entre école et santé sont connues et fortes : d’une part, les liens entre réussite scolaire et état de santé sont établis (des élèves en bonne santé ont de meilleurs résultats scolaires) ; d’autre part, l’école est révélatrice d’inégalités sociales de santé très précoces qui, sans intervention, aggraveront les inégalités sociales à l’âge adulte.
C’est pourquoi Fabrique Territoires Santé consacre un Dossier ressources aux actions de prévention et promotion de la santé dans ou en partenariat avec les établissements scolaires, en s’interrogeant sur l’inscription des écoles dans leur territoire et dans un réseau local d’acteurs de santé. Les établissements scolaires ont-ils une approche territoriale ? Quelle est la nature des partenariats entre le monde éducatif et le monde de la promotion de la santé ? Les démarches territoriales de santé intègrent-elles les établissements scolaires comme des partenaires et opérateurs d’une politique coordonnée de promotion de la santé ?
Cliquer pour accéder à dr_ecole_vf.pdf
Table ronde du Diplôme inter-universitaire santé mentale dans la communauté 2020 animée par Aude Caria, directrice du PSYCOM.
« 1960-2019 : du secteur de psychiatrie au territoire de santé mentale » avec Martine Wonner, députée, Frank Bellivier, délégué ministeriel sante mentale et psychiatrie, Michel Laforcade, directeur de l’ARS nouvelle Aquitaine. 22 janvier 2020- Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé (CCOMS, Lille)
Comment soutenir la création d’une maison de santé ? Qu’est-ce qu’une CPTS, et pourquoi l’encourager ? Pourquoi et comment accueillir des internes pendant leur stage ?
Ce guide pratique s’adresse aux élus confrontés aux inégalités territoriales en matière d’accès aux soins. Il a pour objectif de leur donner une vision d’ensemble du cadre législatif et réglementaire et des dispositifs publics mobilisables. Il vise également à leur proposer des éléments méthodologiques concrets pour guider leurs initiatives et mettre en valeur les démarches portées avec succès par d’autres collectivités territoriales.
Source : Accès aux soins : Le guide pratique pour les élus – Ministère des Solidarités et de la Santé
nouvelleaquitaine-santeenvironnement.org
C’est l’intitulé d’un dossier de la Santé en action, la revue de Santé publique France, dédié aux évaluations d’impact sur la santé (EIS).
Au sommaire de ce dossier :
- Évaluation d’impact sur la santé des habitants : définition et modalités de mise en œuvre
Françoise Jabot - Evaluation d’impact sur la santé en Pays-de-la-Loire : quels enseignements pour les acteurs de la promotion de la santé ?
Françoise Jabot, Julie Romagon, Guilhem Dardier - Strasbourg : des habitants collaborent à une évaluation d’impact sur la santé
Guilhem Dardier, Marion Oberlé - Morbihan : évaluation des impacts sur la santé du café associatif de Monteneuf
Entretien avec Hervé Strilka - Candidature de Paris 2024 aux Jeux : évaluation d’impact sur la santé
Céline Legout, Muriel Dubreuil
France urbaine et l’association Resolis publient une étude sur « Les villes face aux défis de la précarité alimentaire », qui s’appuie sur les initiatives de 21 grandes villes françaises et identifie une série de leviers.
De 2013 à 2018, le Réseau UNIRéS s’est investi dans le dispositif de recherche-intervention dans et hors l’école, en lien avec les compétences psychosociales. Ce projet, lancé par l’Agence régionale de santé Auvergne Rhône-Alpes, avait pour objectif d’analyser le contexte de mise en œuvre et d’évaluation de l’impact de ce dispositif visant à améliorer les compétences personnelles et relationnelles des enfants par des approches corporelles, cognitives et socio-affectives.
Un document de capitalisation, fruit des retours d’expériences des acteurs impliqués dans le projet revient sur la mise en œuvre de ce projet dans les différents territoires, sur la pertinence de l’approche territoriale pour la réussite du développement des compétences psychosociales des enfants, et sur la formation des acteurs éducatifs.
Cliquer pour accéder à unires-172689-document-document-de-capitalisation.pdf
nouvelleaquitaine-santeenvironnement.org
Le Centre de collaboration nationale sur les politiques publiques et la santé (CCNPPS) et l’Unité « Partenariats et expertises transversales : évaluation, recherche et équité » de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) ont organisé un séminaire sur l’évaluation des Évaluations d’impact sur la santé (EIS).
Le Pôle Ressources, centre de ressources politique de la ville et développement territorial dans le Val d’Oise, organisait dans le cadre du mois de l’Economie Sociale et Solidaire une matinée d’échanges intitulée “De la fourche à la fourchette : des leviers pour une gouvernance alimentaire territoriale.”
Une matinée en plein cœur du quartier politique de la ville de Goussainville pour parler alimentation, changement d’habitudes alimentaires et justice sociale avec les territoires et acteurs locaux de l’ESS.
L’alimentation dans les quartiers, quels enjeux ? avec le pôle ressources du Val d’Oise
La journée d’études « Les conseils locaux de santé mentale, 12 ans après : qu’est-ce qui a changé ? », co-organisée par l’association « Elus, santé publique et territoire » (ESPT) et le Centre collaborateur de l’OMS (CCOMS) pour la recherche et la formation en santé mentale, et le Centre national de ressources et d’appui aux CLSM en partenariat avec Le Réseau Français des Villes-Santé de l’OMS (RFVS OMS) et la Ville de Lille, s’est tenue le 15 novembre 2019 à Lille.
Près de 100 participants ont assisté à la rencontre organisée le 07 novembre 2019 à Agen (47) par PQN-A. Elle conclut un cycle de rencontres déployé en 2019 dans le cadre de la feuille de route régionale pour une alimentation durable et locale en Nouvelle-Aquitaine https://www.nouvelle-aquitaine.fr/toutes-actualites/agriculture-pour-alimentation-durable-en-nouvelle-aquitaine.html#prettyPhoto. Retrouvez les 6 points essentiels de cette rencontre “agriculture et alimentation” sur les les filières agroalimentaires au plus près des territoires de Nouvelle-Aquitaine.
Pas moins d’une douzaine de projets ont illustré l’ancrage des productions agricoles et alimentaires dans la région Nouvelle-Aquitaine. Ils confirment aussi la plus-value de filières agricoles et alimentaires : elles répondent à une demande croissante de produits locaux, tout en rémunérant mieux producteurs, éleveurs et agriculteurs.
Rencontre nationale organisée par Fabrique Territoires Santé à Bordeaux le :
Le 17 janvier 2020, de 9h à 17h
A l’Athénée municipal
Place Saint-Christoly
33000 BORDEAUX
Cliquer pour accéder à rn_fabrique_-_17_janvier_2020_-_pre-programme.pdf
Entre mesures d’atténuation et d’adaptation au réchauffement climatique, comment agir sur les territoires pour protéger la population ? Par le centre national de la fonction publique
nouvelleaquitaine-santeenvironnement.org
Le changement climatique est désormais reconnu comme un risque majeur pour la santé humaine. Des mesures d’adaptation sont nécessaires pour protéger la santé des populations des impacts tels la canicule et les maladies vectorielles. En parallèle, les mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre sont susceptibles d’avoir des co-bénéfices sanitaires majeurs (ex amélioration de la qualité de l’air, promotion de l’activité physique, alimentation…). La majorité des mesures d’adaptation et d’atténuation favorables à la santé sont portées par d’autres secteurs que la santé, en particulier au niveau de l’aménagement des territoires. La dimension globale tend à masquer les possibilités d’actions locales. Or,les acteurs locaux (professionnels de santé, de l’environnement, de l’aménagement, de la voirie, des espaces verts, des bâtiments…) ont un rôle majeur à jouer pour initier, accompagner ou coordonner les actions d’adaptation et d’atténuation favorables à la santé.
Mardi 21 janvier 2020 /…
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Ce guide est à destination de toute personne ayant un projet de CPTS. Il est complété par des fiches outils accessibles dans l’espace membres sur le site d’AVECsanté.
Source : guide-cpts-pages.pdf
L’Ansa a réalisé en 2018 un diagnostic de l’aide alimentaire sur trois territoires d’Île-de-France. Ce diagnostic a permis d’analyser les freins et les leviers pour une stratégie d’aide alimentaire adaptée aux besoins. Après une étape de repérage d’acteurs mobilisés pour renforcer l’aide alimentaire au-delà de l’Île-de-France, l’Ansa a organisé en février 2019 une journée d’échanges autour de ce diagnostic avec des acteurs de toute la France, notamment des CCAS. Les participants ont partagé leurs expériences et réfléchi aux conditions de réussite d’un projet de coordination territoriale. A partir de ces réflexions collectives, d’entretiens approfondis auprès de huit territoires et d’une analyse des pratiques, l’Ansa a réalisé une étude sur les pratiques inspirantes de coordination pour lutter contre la précarité alimentaire. Cette étude propose une méthode de coordination et une approche par territoire.
Source : Ansa_Rapport_VF_Modele – Ansa_Alim’Activ_Note de synthèse_Juillet 2019.pdf
Dans le cadre de la recherche CLoterreS, ce bulletin revient sur les premiers éléments du portrait des CLS recensés, sur les résultats de l’étude portant sur l’articulation entre soins primaires et actions de prévention-promotion de la santé dans les CLS et sur l’avancement de la collecte de données à l’échelle des ARS et des collectivités.





